En France, plus d’un million de personnes seraient concernées, dont 400 000 personnes non traitées par ignorance de la maladie. Les plus de 40 ans sont principalement concernés, bien que le glaucome puisse néanmoins se déclarer à tout âge.
Maladie de l’œil qui provoque une diminution irrémédiable du champ de vision. Il est la conséquence de dommages au nerf optique. C’est d’abord la vision périphérique qui est touchée et si aucun traitement n’est reçu, la personne qui en souffre peut devenir aveugle.
Le glaucome reste totalement asymptomatique pendant la plus grande partie de son évolution. Aucune douleur, ni rougeur, ni baisse d’acuité visuelle n’apparaissent. Seul le contrôle systématique de la pression intra-oculaire au cours d’un examen ophtalmologique peut alerter et amener à pratiquer les examens qui vont permettre de faire le diagnostic entre une simple hypertonie oculaire et un glaucome.
Le champ visuel qui permet de mettre en évidence des scotomes (lacunes, «trous» dont le sujet n’a pas conscience, car ils sont compensés par le champ de l’autre œil). L’examen ophtalmoscopique qui permet d’observer la papille optique (tête du nerf optique) dont l’excavation témoigne de la destruction progressive des fibres.
DÉPISTAGE DU GLAUCOME
Le glaucome à angle ouvert, forme la plus fréquente du glaucome, évolue de manière silencieuse, progressive et sans douleur : il est donc fondamental de se faire dépister à partir de 45 ans.
Il est conseillé de consulter un ophtalmologiste au moins une fois par an après 40 ans. Le risque augmente entre 55 et 75 ans et demeure élevé après 80 ans. Le dépistage s’effectue en pratiquant une mesure de la pression intraoculaire et un examen au microscope de l’état du nerf optique.
TRAITEMENTS : COMMENT SOIGNER UN GLAUCOME
Une pression trop importante exercée par l’humeur aqueuse détruit progressivement le nerf optique, en commençant par la périphérie. Le traitement du glaucome consiste soit à réduire la production de cette humeur aqueuse (par médicaments ou ultrasons), soit à augmenter son élimination par des médicaments ou en procédant à une trabéculoplastie (élargissement de l’angle irido-cornéen) par laser ou chirurgie.
Le traitement médical doit être poursuivi «à vie» afin de stabiliser la maladie. Il existe différents types de collyres visant à diminuer la pression intra-oculaire. S’ils ne permettent pas de stabiliser la pression intraoculaire ou s’ils provoquent trop d’effets secondaires, comme des manifestations allergiques, un traitement renforcé au laser, effectué en ambulatoire, peut être proposé. En cas d’échec des collyres et du laser, une intervention chirurgicale peut être conseillée.
Le glaucome reste totalement asymptomatique pendant la plus grande partie de son évolution. Aucune douleur, ni rougeur, ni baisse d’acuité visuelle n’apparaissent. Seul le contrôle systématique de la pression intra-oculaire au cours d’un examen ophtalmologique peut alerter et amener à pratiquer les examens qui vont permettre de faire le diagnostic entre une simple hypertonie oculaire et un glaucome.
Le champ visuel qui permet de mettre en évidence des scotomes (lacunes, «trous» dont le sujet n’a pas conscience, car ils sont compensés par le champ de l’autre œil). L’examen ophtalmoscopique qui permet d’observer la papille optique (tête du nerf optique) dont l’excavation témoigne de la destruction progressive des fibres.
DÉPISTAGE DU GLAUCOME
Le glaucome à angle ouvert, forme la plus fréquente du glaucome, évolue de manière silencieuse, progressive et sans douleur : il est donc fondamental de se faire dépister à partir de 45 ans.
Il est conseillé de consulter un ophtalmologiste au moins une fois par an après 40 ans. Le risque augmente entre 55 et 75 ans et demeure élevé après 80 ans. Le dépistage s’effectue en pratiquant une mesure de la pression intraoculaire et un examen au microscope de l’état du nerf optique.
TRAITEMENTS : COMMENT SOIGNER UN GLAUCOME
Une pression trop importante exercée par l’humeur aqueuse détruit progressivement le nerf optique, en commençant par la périphérie. Le traitement du glaucome consiste soit à réduire la production de cette humeur aqueuse (par médicaments ou ultrasons), soit à augmenter son élimination par des médicaments ou en procédant à une trabéculoplastie (élargissement de l’angle irido-cornéen) par laser ou chirurgie.
Le traitement médical doit être poursuivi «à vie» afin de stabiliser la maladie. Il existe différents types de collyres visant à diminuer la pression intra-oculaire. S’ils ne permettent pas de stabiliser la pression intraoculaire ou s’ils provoquent trop d’effets secondaires, comme des manifestations allergiques, un traitement renforcé au laser, effectué en ambulatoire, peut être proposé. En cas d’échec des collyres et du laser, une intervention chirurgicale peut être conseillée.
Le glaucome reste totalement asymptomatique pendant la plus grande partie de son évolution. Aucune douleur, ni rougeur, ni baisse d’acuité visuelle n’apparaissent. Seul le contrôle systématique de la pression intra-oculaire au cours d’un examen ophtalmologique peut alerter et amener à pratiquer les examens qui vont permettre de faire le diagnostic entre une simple hypertonie oculaire et un glaucome.
Le champ visuel qui permet de mettre en évidence des scotomes (lacunes, «trous» dont le sujet n’a pas conscience, car ils sont compensés par le champ de l’autre œil). L’examen ophtalmoscopique qui permet d’observer la papille optique (tête du nerf optique) dont l’excavation témoigne de la destruction progressive des fibres.
DÉPISTAGE DU GLAUCOME
Le glaucome à angle ouvert, forme la plus fréquente du glaucome, évolue de manière silencieuse, progressive et sans douleur : il est donc fondamental de se faire dépister à partir de 45 ans.
Il est conseillé de consulter un ophtalmologiste au moins une fois par an après 40 ans. Le risque augmente entre 55 et 75 ans et demeure élevé après 80 ans. Le dépistage s’effectue en pratiquant une mesure de la pression intraoculaire et un examen au microscope de l’état du nerf optique.
TRAITEMENTS : COMMENT SOIGNER UN GLAUCOME
Une pression trop importante exercée par l’humeur aqueuse détruit progressivement le nerf optique, en commençant par la périphérie. Le traitement du glaucome consiste soit à réduire la production de cette humeur aqueuse (par médicaments ou ultrasons), soit à augmenter son élimination par des médicaments ou en procédant à une trabéculoplastie (élargissement de l’angle irido-cornéen) par laser ou chirurgie.
Le traitement médical doit être poursuivi «à vie» afin de stabiliser la maladie. Il existe différents types de collyres visant à diminuer la pression intra-oculaire. S’ils ne permettent pas de stabiliser la pression intraoculaire ou s’ils provoquent trop d’effets secondaires, comme des manifestations allergiques, un traitement renforcé au laser, effectué en ambulatoire, peut être proposé. En cas d’échec des collyres et du laser, une intervention chirurgicale peut être conseillée.
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